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    « C’est un cauchemar » : il doit tout recommencer après avoir passé neuf mois à restaurer sa Ferrari à cause d’une simple erreur de vinyle

    11 décembre 20255 minutes
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    Neuf mois de sueur, d’huile de coude et d’espoir : c’est le temps que Ratarossa, célèbre youtubeur britannique passionné de Ferrari, a investi pour redonner une seconde jeunesse à sa 360 Modena. Mais quand la restauration vire au fiasco à cause… d’une simple bande vinyle, le rêve prend la forme d’un véritable cauchemar pour cet amoureux de la mécanique. Une histoire qui prouve, une fois de plus, que dans l’univers des voitures de collection, le diable se cache toujours dans les détails.

    Quand la passion de la restauration tourne au vinaigre…

    Qui n’a jamais entendu parler de Ratarossa ? Ce magicien des ateliers, capable de ressusciter ce que d’autres enverraient à la casse, bichonne depuis plus de quinze ans les plus beaux modèles Ferrari : 308, 328, 512 BB… et bien sûr, sa fidèle 360 Modena. Son Graal absolu ? Espérer tomber, un beau jour, sur une F40 à restaurer. Mais en attendant, c’est bien sur sa 360, fidèle destrier du quotidien, qu’il concentre ses talents.

    Durant neuf longs mois, Ratarossa s’attelle à un chantier titanesque : démontage complet, nouvelle peinture, rénovation intégrale de l’habitacle, freins remis à niveau et compartiment moteur tout neuf. Le résultat frôle la perfection, la voiture brille, prête à rugir à nouveau sur l’asphalte. Mais, hélas, il suffit d’un détail pour tout faire basculer…

    Bande vinyle : la petite erreur qui gâche tout

    Pour achever cette métamorphose en beauté, Ratarossa opte pour une bande tricolore à la façon des mythiques Ferrari Challenge Stradale. Chic, italien, sportif… tout semblait parfait ! Mais quelques semaines après la sortie de l’atelier, le rêve se fissure. Une imperfection minuscule fait son apparition sur la bande. Puis une autre. Et très vite, la ligne immaculée se transforme en une succession de bourrelets et de fissures, comme taillée au scalpel. « C’est un cauchemar, » avoue le youtubeur, désemparé. « On a passé neuf mois à refaire la voiture à la perfection, et maintenant la bande vinyle rétrécit de jour en jour. »

    Le couperet tombe. La bande vinyle, posée puis vernie, a commencé à rétrécir, laissant sous le vernis une vilaine arête. Et pour aggraver le tout, les défauts remontent du capot jusqu’au toit : une propagation qui oblige à envisager de poncer et repeindre près des deux tiers de la carrosserie si l’on veut remettre la Ferrari en état concours. On est loin du petit accroc de parking !

    Pourquoi le vinyle a-t-il trahi Ratarossa ?

    Un professionnel chevronné des films vinyles, riche de quarante ans d’expérience, apporte son éclairage après la publication de la vidéo de Ratarossa. Le verdict est sans appel : la bande aurait été imprimée sur un vinyle « calandré », réputé moins stable que le « cast » (ou vinyle coulé) de haute performance habituellement recommandé pour l’automobile. Et là, c’est le drame. Le vinyle calandré n’aime pas du tout les fortes variations de température, surtout sur une carrosserie noire, véritable éponge à chaleur. Résultat ? Le vinyle se dilate, se contracte, puis finit par se décoller insidieusement sous le vernis. L’expert confirme : « Sur une voiture noire, le vinyle chauffe énormément au soleil. J’ai déjà vu des bandes se rétracter de 20 mm ! »

    Sa recommandation ? Se résoudre à repeindre le capot et appliquer une nouvelle bande en vinyle « cast »… mais cette fois, sans vernissage !

    Quand la malchance s’en mêle : vernis en mode gruyère et autres bobos

    Hélas, les soucis ne s’arrêtent pas là. Ratarossa détecte aussi différentes imperfections du vernis sur d’autres parties de la voiture, comme les portières et les ailes, où aucun vinyle n’était présent. Des coulures, des zones trop sèches, de petites bulles disgracieuses : bref, la panoplie complète de l’apprenti carrossier pressé. En cause ? Pas le vinyle cette fois, mais un processus de peinture sans doute perturbé par le froid hivernal, un séchage inégal ou tout simplement trop de vernis.

    Malgré tout, il garde le sourire. « Je ne suis pas perfectionniste, mais quand ma fille de dix ans me demande ce que sont ces marques sur la carrosserie, je sais que ça se voit trop. » Avouons-le : si une Ferrari a besoin d’un lifting devant l’œil d’une enfant, il y a matière à ruminer…

    Alors oui, il faudra du temps. Oui, il faudra de l’argent. Mais l’optimisme (et la mécanique) reviennent vite : le V8 chante à merveille, les freins sont impeccables, l’intérieur est au top. Ratarossa réfléchit même à refaire une peinture complète… ou à oser une couleur vraiment différente, comme un violet métallisé qui ne passerait pas inaperçu !

    • Choisir le bon vinyle, adapté aux contraintes automobiles, n’est pas une option mais une nécessité.
    • Parfois, refaire du neuf… c’est repartir (presque) de zéro !
    • La passion, elle, ne s’efface pas, même sous les couches de vernis ratées.

    Morale de l’histoire ? Dans le monde des restaurations, même l’ennemi le plus discret – ici une simple bande vinyle – peut transformer des mois de travail en cauchemar. Mais tant que la passion reste, il y aura toujours une prochaine aventure à raconter… surtout chez Ratarossa !

    ★★★★★

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    Mathias Gerdy

    Après avoir fait ses premiers pas dans la presse féminine, Mathias Gerdy a fondé le site Gayvox en tant que journaliste indépendant pour écrire sur ce qui lui tenait à cœur : la cause LGBT.

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