Il est officiel: l'icône country queer Orville Peck est montée sur le marquee brillant d'Hollywood avec son premier redémarrage du prochain redémarrage de « Street Fighter '', jouant le Vega flamboyant et mortel.
Une révélation élevée pour une icône culte
Les fans bourdonnent après que Peck, mieux connu pour avoir été masqué, a partagé une photo en coulisses via l'histoire Instagram de l'actrice Callina Liang, a plus tard pris à son compte. L'instantané révèle ses longs cheveux blonds et son tatouage de serpent, un look signature pour Vega, le ninja espagnol présenté pour la première fois comme un patron dans Street Fighter II. La question de savoir si son masque de signature apparaîtra dans la coupe finale reste un mystère alléchant. Noah Centineo a même montré son look dans les coulisses.
Emballé de fanfaronnade et de menace, Vega est le genre de présence esthétique parfaitement alignée sur la personnalité artistique de Peck. En tant qu'artiste queer connu pour adopter un masque comme armure d'identité, le rôle ressemble à un ajustement naturel, campy et féroce.
Le casting déroule
Le film Street Fighter embrasse le chaos d'ensemble complet, avec une programmation aussi colorée qu'inattendue:
- Noah Centineo comme Ken Masters
- Andrew Koji comme Ryu
- Callina Liang comme Chun Li
- Curtis «50 Cent» Jackson comme Balrog
- Jason Momoa comme Blanka
- Roman Reigns comme Akuma
- David Dastmalchian comme M. Bison
- Cody Rhodes comme Guile
- Hirooki Goto comme E. Honda
- Vidyut Jammwal comme Dhalsim
- Andrew Schulz en tant que Dan Hibiki
- Et Orville Peck comme Vega
Le tournage a commencé en Australie à la mi-août sous le réalisateur Kitao Sakurai, connu pour le Eric Andre Show et les épisodes de Butterfly and Twisted Metal.
Pourquoi Peck comme Vega frappe différent
Pour le public LGBTQ et queer, le casting de Peck a une signification au-delà de la nouveauté. Sa mystique masquée et sa performance stylisée font écho à la théâtralité de Vega et offrent un rare moment de représentation codée queer dans un film d'action grand public. Ce n'est pas une visibilité des antécédents; C'est un projecteur. Un fandom ne voit pas seulement un rebelle avec une griffe – il en voit un entièrement autorisé à exister dans les cadres à succès.
Qu'il garde le masque ou non, Peck apporte à la fois la physique et la rébellion esthétique à ce rôle. Vega est un paradoxe: la beauté gracieuse mais mortelle et non masquée, mais cachée d'identité. Cela parle directement de la dualité de la visibilité queer – une expression de Bold fusionnée avec l'anonymat protecteur.
Une franchise légendaire, un redémarrage risqué
La franchise de jeux vidéo Street Fighter a longtemps été un colosse culturel, mais son héritage en direct a été difficile. La version Van Damme et Kylie Minogue de 1994 a gagné le statut de culte pour le Camp Over Acclame, tandis que la légende de Chun Li en 2009 était à la fois un raté critique et commercial.
Ce redémarrage compose à la fois l'ambition et la coulée excentrique. Avec Momoa électrisant en tant que brute verte, 50 cents se frayant un chemin dans la nostalgie et Peck prête sur les ciseaux à travers des batailles de boss emblématiques, le film peut enfin trouver cet équilibre haute tension entre hommage et grain.
Le sous-texte queer qui compte
Dans un genre qui centre rarement l'énergie queer au-delà du codage subtil, les risques de combattant et les récompenses convergent. Le poison et le corps de Vega deviennent étranges dans la performance, non écrits ou rationalisés, simplement adoptés. Et Orville Peck, interprète et queer Dream Weaver, apporte plus qu'hommage. Il livre la présence. Dans un arc-en-ciel de corps et de noms, il offre un autre type de réflexion: l'une de la force masquée et du calcul en velours.
Le film est toujours serré au mystère, aux dates de sortie, aux arcs de l'intrigue, même au dernier look de Vega. Mais une chose est claire: ce redémarrage n'est pas seulement un autre jeu pour filmer Gamble. Avec Peck comme Vega, il pourrait très bien devenir un canon de camp queer.