La France envisage un système qui pénaliserait les marques de fast fashion en leur imposant des frais pouvant aller jusqu'à 10 € (8,50 £/11 $) par article.
En mars, la chambre basse du Parlement français a approuvé un projet de loi qui pénaliserait les produits de mode ultra-rapide.
Le projet de loi, qui propose d'augmenter progressivement les sanctions par vêtement d'ici 2030, vise à réduire l'impact environnemental de détaillants tels que Shein et Temu.
Le projet de loi interdirait également la publicité pour la fast fashion et sera désormais soumis au Sénat avant de devenir éventuellement une loi.
Le projet de loi vise à riposter aux achats impulsifs
Selon CNN Style, le projet de loi précise : « Cette évolution du secteur de l'habillement vers une mode éphémère, combinant augmentation des volumes et prix bas, influence les habitudes d'achat des consommateurs en créant des impulsions d'achat et un besoin constant de renouvellement, ce qui n'est pas sans conséquences environnementales, sociales. et les conséquences économiques.
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, a écrit sur X/Twitter : « L'Assemblée nationale vient d'adopter à l'unanimité une proposition de loi pour freiner le développement de la mode ultra-rapide.
« Je suis ravi de cette avancée majeure. Aujourd’hui, grâce au travail d’@AnneCecileVio (députée à l’Assemblée nationale française) et de députés de toutes les formations politiques, un grand pas a été franchi pour réduire l’empreinte environnementale du secteur textile.