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    À 14 ans, il dépasse déjà tous les géants de la NBA : l’incroyable ascension de Jeremy Gohier fascine le monde du basket

    5 novembre 20254 minutes
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    À 14 ans à peine, il tutoie déjà les nuages et fait chavirer le cœur – et les cous – du monde du basket : Jeremy Gohier, le géant canadien, attire tous les regards et les projecteurs. Plus grand que Victor Wembanyama, et, tenez-vous bien, plus grand que tous les mastodontes de la NBA. S’il continue sur sa lancée, il pourrait même devenir le basketteur le plus grand – au sens propre – de l’histoire. Accrochez-vous, car ce prodige n’a pas fini de s’élever !

    Un adolescent qui dépasse tout le monde… au sens littéral

    Finis les regards admiratifs pour les 2,24 m de Victor Wembanyama : désormais, Jeremy Gohier lui fait de l’ombre… et même une sacrée ombre. À seulement 14 ans, le jeune Canadien affiche une allure de géant sur les parquets. En un an, il a pris tranquillement 11 centimètres, comme d’autres changeraient de pointure de basket !

    • 14 ans et déjà plus grand que tous les joueurs NBA
    • Une poussée de croissance fulgurante
    • Un avenir qui fait rêver… ou qui donne le vertige

    Son secret ? Un patrimoine génétique à faire pâlir plus d’un prospect : même si ses parents ne sont pas spécialement hors normes (1,83 m pour le père et 1,70 m pour la mère), on retrouve dans sa famille un grand-père culminant à 1,96 m, et un autre parent approchant les 2,10 m. Oui, ça aide à gratter le plafond (au minimum) !

    Un ado, une célébrité… et quelques petits tracas de géant

    La vie de Jeremy n’est cependant pas faite que d’applaudissements et de stories sur les réseaux. Être l’objet de toutes les attentions, ce n’est pas toujours simple, surtout à l’âge où l’on rêve parfois d’invisibilité.

    Dès que je vais quelque part, tout le monde me regarde. J’aimerais mesurer 1,80 m. Parfois, j’aimerais disparaître, mais je préfère être aussi grand que je suis et jouer au basket.

    Côté anecdotes familiales, on découvre qu’il mesurait déjà 1,20 m à 2 ans ! Et à 9 ans, il passait la porte de l’école à 1,70 m, dans son pantalon déchiré. On imagine la scène avec le professeur : « Il joue à genoux avec ses camarades pour pouvoir les suivre ! » explique sa mère, mi-amusée, mi-incrédule. S’il garde la tête froide, sa mère espère toutefois qu’il ne grimpera pas jusqu’à 2,50 m – question de praticité pour les cadres de portes…

    Fort heureusement, les études médicales ont permis d’exclure le gigantisme dans son cas. C’est donc bien du côté des racines familiales que ce don de la nature puise sa force.

    Sur le parquet, une force tranquille… et prometteuse

    Pas question pour Jeremy de se contenter de dominer par la taille : c’est aussi sur le terrain qu’il s’affirme. Preuve en est : il a participé l’été dernier à l’Americup U16, alors qu’il avait deux ans de moins que la majorité des joueurs. Avec l’équipe du Canada, il a atteint la finale, même s’il n’a pas marqué lors du dernier match contre les États-Unis. Globalement, il tourne avec

    • 2,5 points de moyenne (avec 46,7 % d’adresse)
    • 4,3 rebonds
    • 0,5 contre
    • 0,2 passe décisive
    • En seulement 10,6 minutes de temps de jeu moyen

    Ses idoles ? Giannis Antetokounmpo et Nikola Jokic. On rêverait tous d’avoir de tels modèles, surtout quand on a une ascension aussi fulgurante… au sens propre !

    L’avenir : un duo de titans pour le Canada ?

    L’avenir s’annonce particulièrement imposant sur le plancher pour Jeremy : il pourrait bien former un duo d’intérieurs de rêve dans la sélection canadienne aux côtés d’Olivier Rioux, 19 ans… et déjà 2,35 m sous la toise des Florida Gators en NCAA. Gohier et Rioux, ça sent le panier transformé à chaque remise en jeu (et quelques crânes cognés contre les panneaux).

    Conseil aux adversaires : prenez une échelle et gardez le sourire. Jeremy Gohier n’a pas fini de grandir, ni d’étonner. Le basket mondial n’a pas fini de lever les yeux… et il a intérêt à bien s’échauffer la nuque.

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    Mathias Gerdy

    Après avoir fait ses premiers pas dans la presse féminine, Mathias Gerdy a fondé le site Gayvox en tant que journaliste indépendant pour écrire sur ce qui lui tenait à cœur : la cause LGBT.

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